DU 5 AU 28
JUILLET 2018
À LA GALERIE
PIERRE-ALAIN CHALLIER
L'artiste américaine Jan
Dilenschneider revient à Paris,
pour partager avec le public parisien, ses peintures récentes qui célèbrent la beauté sauvage de notre planète menacée.
L'artiste Jan Dilenschneider, qui
a acquis une réputation internationale à travers ses expositions et ses actions de mécénat peint la
nature en grand. Les paysages qui l'entourent, au cœur de son atelier
de Long Island
Sound, en toute saison,
dans la chaleur
de l'été ou dans les tempêtes qui s'invitent
inopinément, sont sa principale source d'inspiration.
Loin des mouvements de mode et des tendances du
marché de l'art international, elle poursuit son exploration esthétique, dans
la mouvance des artistes
expressionnistes. Elle bouscule les convenances, en créant des fusions de
couleurs et de formes.
Ses peintures vont au-delà de la description fidèle
de la réalité. Par les formes, les textures et les couleurs, elles expriment
des sentiments et transmettent une sensation vibrante.
En réinterprétant la vision du réel, en l'exaltant,
l'artiste suscite une réaction, peut-être une interrogation, un trouble
certain.
L'harmonie est présente, toutefois ses tableaux
pourraient être le décor d'un théâtre, où se joue le dernier acte d'un drame
qui met en scène un monde splendide… menacé par une destruction imminente.
« En montrant
ces paysages du Connecticut, cette feuille en gros plan, l'herbe qui danse dans
la brise, le ciel bleu se reflétant sur l'eau cristalline des ruisseaux, les silhouettes de ces vieux arbres dans les champs,
je veux contribuer à protéger
la splendeur qui nous entoure, pour que les générations futures puissent aussi
l'aimer et en profiter. » explique Jan
Dilenschneider.
Les deux éléments
majeurs de son travail sont la couleur
et le rythme du geste. Dans sa pulsation, le geste réunit
la passion et l'émotion qui habitent
l'artiste. Elle commence
chaque toile, avec un grand coup de pinceau, qui imprime son énergie à la toile. Ses
mouvements sont rapides et puissants. Au-delà des brosses, elle utilise aussi
des racloirs ou parfois, elle plonge dans la toile à mains nues, avec ses bras
imprégnés de pigments, pour ajouter, estomper, ou effacer afin de modifier la
texture, lui donner plus de contraste et de
densité.
Ses tableaux captent les regards qui perçoivent cette
énergie et cette profondeur de la vision. La
couleur transmet la joie, c'est
elle qui sollicite
l'œil. Quand les couleurs
cohabitent, elles deviennent éclatantes, presque insolentes et renforcent
l'impact visuel.
Pour cette quatrième exposition,
à
la galerie Pierre-Alain Challier, qui débute le 5
Juillet 2018
Jan
Dilenschneider expose une trentaine d'œuvres récentes
qui allient le sublime et l'étrange
pour raconter
une histoire d'amour
avec la nature.
Galerie Pierre-Alain Challier
8, rue Debelleyme 75003 Paris – T. +33(0)1 49 96 63 00
du mardi au samedi, de 11h à 19h. Pour en savoir plus : http://pacea.fr/
Contact presse :
Sylvia Beder