Dimanche 26 avril aura lieu la 15e journée mondiale de la propriété intellectuelle. Lors de cette journée, l'Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) souligne combien il est important de protéger les droits d'auteur. La contrefaçon constitue une forme de plagiat particulièrement nuisible pour la force d'innovation de l'économie française. Le ministère de l´économie de l´industrie et du numérique estime que la contrefaçon aurait pour conséquence directe la suppression de 200 000 emplois dans le monde, dont 100 000 en Europe et 30 000 en France. Avec l'ampleur croissante du commerce sur Internet, les infractions contre le droit de la propriété intellectuelle sont toujours à l'ordre du jour : En dix ans, cet accroissement s'évalue à 1 000 %, ce sont plus de 7,6 millions d´articles de contrefaçon qui ont été saisis par les douanes en 2014. Les saisies douanières sont passées en France de 200 000 articles en 1994 à 4,6 millions en 2012. 

Les douanes, les entreprises et les administrations ont un intérêt commun à lutter de manière efficace contre les contrefacteurs internationaux, qui s'enrichissent aux frais des détenteurs de marques et mettent en danger les emplois. Toutefois, il est souvent difficile de différencier à l'œil nu une contrefaçon d'un original. Par ailleurs, avec l´expansion du commerce en ligne, le nombre de pièces présentent sur le marché mondial grandit sans cesse, ce qui le rend plus coûteux à contrôler. Une mesure efficace contre les copies illégales est une protection conséquente des produits : de plus en plus de détenteurs de marques utilisent les étiquettes de sécurité de tesa scribos, afin d'apposer sur les sacs à main, montres, alcools ou médicaments des caractéristiques de sécurité individuelles et infalsifiables. Ils fournissent ainsi à leurs produits une identité unique, comme un passeport qui les suivra dans leur voyage tout au long de la chaîne de distribution internationale. En outre, la base de données en ligne de l'Organisation Mondiale des Douanes (OMD) fournit en temps réel des informations sur les produits et les fabricants, afin que les douaniers puissent identifier les marchandises contrefaites de manière simple et rapide, sur site, dans les conteneurs, grâce au smartphone.

L'expert en protection des marques tesa scribos est connecté depuis début 2014 à la base de données de l'OMD IPM Connected : « En tant que partenaire de l'OMD, nous voulons montrer l'exemple dans la lutte contre la contrefaçon. Nous offrons à nos clients d'utiliser gratuitement la version dite « de base » de la base de données IPM Connected. Nous leur facilitons ainsi l'accès au réseau mondial anti-contrefaçon, qui regroupera, selon les prévisions, 44 000 douaniers dans 121 pays d'ici 2017 », explique Volker Hahn, Directeur marketing international de tesa scribos.