tompress commercialise 2 nouvelles gammes de couteaux pour professionnels et amateurs avertis. Japonais sandwich ou traditionnel français, une sélection rigoureuse a permis de clarifier l'offre et tompress propose désormais, aux amoureux de cuisine, le meilleur des deux techniques.
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Japonais "100% made in Japan" (
http://www.tompress.com/CT-2798-couteaux-japonais.aspx) ou grande coutellerie française (
http://www.tompress.com/CT-2797-couteaux-de-chef.aspx), les nouveaux couteaux tompress ont été retenus sur 3 critères principaux :
- qualité des aciers, forge et traitements thermiques des lames,
- soin apporté au montage et robustesse,
- ergonomie et qualité de coupe.
En cuisine, les couteaux sont utilisés en permanence. On tranche, on émince, on pare. Il faut aussi désosser, hacher, historier ou plus simplement éplucher. À chacune de ces opérations correspond un type de couteau. Si les professionnels cherchent parfois des couteaux très spécifiques, à la maison, quelques bons couteaux polyvalents suffisent. Encore faut-il disposer de véritables couteaux de qualité.
Japonais ou français ? La vraie différence est technique.
La question de la forme est secondaire. D'ailleurs, si l'on compare les couteaux selon chaque usage spécifique, les ressemblances sont très nombreuses. La vraie différence entre les deux gammes est technique. Les japonais proposés par tompress sont fabriqués au Japon et utilisent la technologie du sandwich, les français sont des monoblocs forgés-traités. Japon ou France, ces couteaux sont l'aboutissement d'une longue tradition et d'une collaboration étroite entre chefs et couteliers.
Le sandwich
Utiliser deux métaux différents dans une même lame est une technique extrêmement ancienne. Pour couper correctement, on a besoin d'un acier très dur mais plus cet acier est dur, plus il devient fragile. L'idée est donc de protéger la partie coupante par deux épaisseurs de métal moins "cassantes" pour donner à la lame la robustesse nécessaire. L'autre avantage de la technique, c'est de faciliter l'affûtage : l'extérieur est plus tendre, ce qui permet d'entretenir rapidement la coupe.
Le monobloc
La coutellerie française n'utilise pas les composites et préfère sélectionner des aciers représentant un bon compromis entre dureté et souplesse. Le forgeage, les traitements thermiques et chimiques apportés aux lames modifient considérablement les propriétés de l'acier. Tout l'art consiste à obtenir le meilleur accord possible entre qualité de coupe, robustesse et facilité d'affûtage. La technique permet aussi de bien gérer la nervosité des couteaux dont les lames doivent rester relativement souples.